Fun-Vtt
13-11-2014 à 08h10
|
Bravo Francine.
Bienvenue dans le monde des couchés heureux.
Et en plus tu as été le chercher toute seule ! Bravo.
j'espère que l'on pourra te voir avec avant la fin de l'année.
Voici un lien sur le pliage
6629 msg, 64 ans. (-54). Message modifié le 2014-11-13 08:11:25 par Fun-Vtt. |
Moun54
13-11-2014 à 11h18
|
Merci Yannick
J'y suis allée toute seule mais ...
tu m'as fourni le nom de Jean Pascal et je t'en remercie..
à présent, à nous de former un groupe des lorrains ..
Je pense qu'au printemps, ce sera top ..
Francine, 1054 msg, 68 ans. Vandoeuvre Les Nancy (FR-54). [mon blog] Kalkoff 11000 kms trike azub t tris 6000 kms |
publicité 13-11-2014 à 11h18
| Lien commercial -181-
|
Havoc
14-11-2014 à 18h00
|
Moun54 a écrit :
HMMMM en fait, la photo ne reflete pas la realité je...
Oui, je me doute que tu n'as pas un début de calvitie, la barbe et la moustache !
Merci pour toutes ces explications.
Bruno, Modérateur,64163 msg, 58 ans. Etampes (FR-91). [mon blog] Vtf 12km/j/IntercontinentalBBS/Sunn Revolt/XChox/Motive/Dogg |
Pipostrada
01-11-2020 à 17h33
|
Bonjour, j'ai dévoré votre article a propos des vélos couchés. semi couchés.
a mon avis, le guidon le plus facile pour s'habituer au 2 roues couchés, c'est celui autour des genoux, comme le bachetta, le seul ou je tienne debout ou le speedmachine de chez hpvelotechnic en faisant attention de ne pas le prendre dans les canons des pantalons.
j'ai fini sur un ice vtx a 3 roues. pour les longues distances sans fatigues. Puis sur un strada velomobiel.
Un des problème dont on ne tient pas compte est la capacité pulmonaire en vélo couché. Dans les montées on est lents, on est vite en manque d'oxygène, dans le vélomobile, je sors les bras du cockpit et me tiens comme sur des barres parallèles, ce qui décolle le dos du siège et me donne 20% de plus en capacité pulmonaire, je peux monter a 150 puls/min au cardio alors que sur le vtx, 140 est un max. la position du cycliste sur un vélo de course dégage beaucoup plus les poumons que sur un vélo couché.
il est bien votre article.
Anonyme, 3 msg, (CH-11). |
lum
02-11-2020 à 09h09
|
Merci pour votre intérêt porté à cette masse d'information, mais l'article date, et tout n'est pas abordé.
J'ai démarré directement ce nouveau genre de cycle, en me confrontant à l'essai d'un 26 x 20 traditionnel, je n'étais pas fier lors de mes premiers essais.
En revanche, des membres de ma famille sur semi couché à pédalier très bas n'ont guère été handicapés pour se propulser avec, même en ville, au bout de 10 min d'apprentissage.
Dans vos propos, je relève cette expérience très intéressante sur l'utilisation de la capacité pulmonaire. Vous parlez de 150 puls sur vélo de course ; il est vrai que cette monture permet un changement de position très libre, de nature à favoriser momentanément une plus grande capacité respiratoire.
Sur ce point, le semi couché est meilleur que le couché, avec un pédalier plus bas, on peut finalement mieux s'allonger dans certaines situations. Et l'assistance électrique change la donne, laquelle est quasi obligatoire en montée, lorsque le poids de la monture augmente, car l'avenir logique du semi couché est de se voir équipé d'une carrosserie ouverte, de manière à pouvoir monter/descendre plus facilement et plus souvent que depuis un velomobile. Le cycliste qui accepte de transpirer abondamment en montée est une espèce en voie de disparition, y compris en randonnée. Aujourd'hui, en France, comme en Europe, il se vend tous les jours plus de VAE que de vélos traditionnels.
L'avenir, c'est ce semi couché à carrosserie, sur lequel je travaille en réalisation de prototype. Et quand on considère l'Aérovélo, qui est le modèle extrême, alors là, pas de problème, le cycliste est totalement allongé sur le dos, tête vers le ciel, yeux sur un écran qui montre la route devant, filmée par caméra. C'est parfait pour atteindre plus de 144 km/h en pointe, mais j'ai de sérieux doutes quant au plaisir de rouler à bord !
1818 msg, 70 ans. (-75). |
Pipostrada
02-11-2020 à 09h40
|
bonjour 150 ps min c'est avec le vélomobile, avec un vélo de course, on monte a 170. Je disais que la différence entre un vélomobile a carrosserie et un vélo couché, c'est qu'avec le vélomobile on peut s'aider de la carrosserie pour se soulever du siège, ce qui dégage les poumons, mais pas autant qu'avec un vélo de course.
Propulsion électrique. Pour le moment je monte sans. même des cols, ca prend du temps, mais on y arrive, on met de la musique, on fait un scrabble, je compte 15 minutes pour gagner 100m d'altitude que j ajoute aux 20km/h . On s'habitue aux 5km/h l'ennui c'est que l'on est souvent seul, les autres cycliste vont bien plus vite dans les montées et sont plus lents autrement.
le passage à l'électrique 'est un truc qui complique, il faut gérer les batteries, ne pas les laisser dans la carlingue ou il fait très chaud. tant que j'arriverai a monter musculaire j'y resterai. J'ai bien un vélo électrique, mais c'est plutôt un tracteur. En moyenne je vais plus vite plus loin et plus longtemps en vélo couché.
Anonyme, 3 msg, (CH-11). |
lum
02-11-2020 à 10h08
|
Bravo pour cette adhésion au velomobile, engin fascinant, mais d'usage très, très, très spécifique. Vous en soulignez bien certaines limites : l'extrême handicap en montée, l'aspect boîte surchauffée en été.
Quant à ceux qui m'expliquent que c'est l'engin rêvé pour la ville, au quotidien, avec arrêt tous les 300 m, pour chaque course...Je crois qu'ils l'ont trop peu expérimenté.
Bonne randonnée néanmoins.
Pour monter lentement et péniblement, mon truc : regarder le plus possible par terre le sol qui défile, surtout pas le sommet, si lointain, encore moins, les cyclistes plus rapides : très décourageant.
1818 msg, 70 ans. (-75). Message modifié le 2020-11-02 10:14:35 par lum. |
Pipostrada
02-11-2020 à 11h27
|
un lynxx, en ville c'est pas évident. s'arrêter au feux, démarrer monter et descendre. En trike c'est plus facile, un coup de frein et l'on est éjecté. Le vélomobile, ce n'est pas si difficile, avec un peu d'habitude, on est vite installé et sorti. j'ai protégé les bords pour ne pas abimer la carrosserie en passant les pieds chaussés de plaque métallique, mais si on entre la jambe opposée et que l'on s'assied sur le repose nuque, le plus haut possible, l'autre jambe rentre toute seule, ne reste plus qu'à glisser dans la machine. S'il faut monter sur un vélo normal, maintenant qu'ils ont de la suspension et des roues de 29, il faut monter sur la pédale et passer la jambe par dessus la selle dans l'élan, tout en contrôlant la direction, c'est aussi un coup a prendre. ma copine n'y arrive pas. Elle couche le vélo pour passer la jambe, se trouve sur la barre mal a l'aise avant de monter sur les pédales. Pas si sur que le vélomobile sont plus difficile a mettre en œuvre.
Anonyme, 3 msg, (CH-11). |
publicité 02-11-2020 à 11h27
| |
lum
02-11-2020 à 13h38
|
Ah, il va falloir s'intéresser aux vélos à enjambement bas, en VTC, vélos de ville, ou semi couchés ; à Paris, je roule couramment en Maxarya Ray 1 X.
1818 msg, 70 ans. (-75). |
|