Jacques74
13-02-2021 à 13h11
 |
- Quant à faire exploser une bombe dans une zone sans personne, les USA l'avait déjà fait, chez eux. Ca n'a aucun impact militaire sur l'ennemi.
D'une part les expériences étaient tenu secrètes et d'autre part une explosion au large de Nagasaki par exemple était envisagée (ainsi que d'autres lieux à distance mais très facilement observables par les nippons).
Ton raisonnement ne tient pas.
Par ailleurs les équipes de médecins militaires dépêchés sur place peu après l'explosion, ceci pour observer les dégâts humains "en vrais" et sans réellement soigner, c'est incontestable, il y a suffisamment de témoignages.
Il faut être cohérent dans tes jugements, particulièrement en ce qui concerne le nucléaire.
- Quant à l'emploi de terme "génocide", il ne correspond pas à la définition de ce terme
Tuer volontairement tous les habitants d'une ville, femmes et enfants, tu appelles ça comment ?
Ok, un massacre alors, pas un génocide...
Anonyme, 18554 msg, (FR). Message modifié le 2021-02-13 13:15:29 par Jacques74. |
Corium
13-02-2021 à 13h23
 |
Les Japonais savaient que l'objet "bombe nucléaire" pouvait exister (ils travaillaient aussi dessus) et mais ils ont refusé de croire que les américains en avaient une, puis 2 (mais pas 3), bien que des renseignements leur aient fait savoir que des bombes usa pouvaient exister. Ils ont pu penser à une forme de bluff.
Dès le lendemain d'Hiroshima, certains militaires japonais savent qu'il s'agit d'une bombe nucléaire. Mais sans doute croyaient-ils que les usa n'en avait qu'une. Ou voulu croire.
Donc quand on a dit que Hiroshima a stoppé la guerre, c'est factuellement faux. Il a fallu Nagasaki.
Sans bombes, la guerre se serait aussi finie, ça c'est sûr. Mais comment ? Personne ne peut le dire.
Anonyme, 25464 msg, 50 ans. Paris (FR-75). In velo veritas |
publicité 13-02-2021 à 13h23
| Creation du fichier https://cyclurba.fr/fichier/pub_log.txt
|
Jacques74
13-02-2021 à 13h43
 |
Corium, un extrait du résumé du film de Lucy Van beek, Hiroshima, la véritable histoire (2014)
Test grandeur nature
Cette investigation ambitieuse éclaire aussi bien les motivations réelles des Américains que les conséquences sociales, sanitaires et environnementales du désastre.
Little Boy était-elle un "mal nécessaire" pour forcer les Japonais à capituler ?
Hiroshima démontre que le pays de l’empereur Hirohito avait de toute façon déjà perdu la guerre et s’apprêtait à négocier.
Les objectifs de Truman étaient autres : tester in vivo l’efficacité de la bombe et devancer les Russes dans la course à l’armement.
Même duplicité après la seconde explosion atomique (Nagasaki, le 9 août) : les Américains coupent du monde les zones japonaises dont ils ont pris le contrôle, font des études scientifiques mais ne soignent personne.
Le quotidien des irradiés est occulté : considérés comme des pestiférés, ils doivent subir l’emprise rapace des mafias japonaises et la désagrégation des rapports humains.
Dans le même temps, aux États-Unis, une propagande gouvernementale massive tente de légitimer les bombes et de rendre populaire le recours au nucléaire.
Bénéficiant d’images d’archives inédites et de documents confidentiels, le film de Lucy van Beek met en avant de nombreux témoignages, notamment japonais (experts, agents secrets, survivants). Les souvenirs et les histoires individuelles qu’ils esquissent aboutissent tous au même constat : les ondes de choc d’Hiroshima n’ont pas encore disparu.
... à visionner je te le conseille.
Ca remet passablement en cause "l'enseignement officiel" que tu sembles défendre ainsi que nos "sauveurs américains".
Anonyme, 18554 msg, (FR). |
Havoc
14-02-2021 à 08h02
 |
Division de la discussion en deux branches: Après la pandémie retour à la gabegie énergétique ?
Bruno, Modérateur,58384 msg, 55 ans. Etampes (FR-91). [mon blog] Vtf 12km/j/IntercontinentalBBS/Sunn Revolt/XChox/Motive/Dogg |
Havoc
14-02-2021 à 08h24
 |
Le vaccin élaboré par le laboratoire français Sanofi en partenariat avec l'américain Translate Bio, ne sera pas disponible en 2021, a déclaré le PDG de Sanofi dans une interview au Journal du dimanche. Les essais cliniques de ce vaccin devraient commencer au premier trimestre de l'année.
C'est un nouveau revers pour la recherche française dans la lutte contre le Covid-19. Le vaccin développé par Sanofi en partenariat avec l'américain Translate Bio à partir de la technologie de l'ARN messager ne sera pas prêt cette année, a déclaré Paul Hudson, le directeur général du groupe pharmaceutique français dans une interview au Journal du Dimanche.
Les essais cliniques de ce vaccin, qui repose sur la même technologie que les vaccins de Pfizer-BioNTech et Moderna déjà mis sur le marché, doivent commencer ce trimestre.
En décembre dernier, Sanofi avait dit viser une autorisation potentielle de ce vaccin au second semestre 2021 au plus tôt, à la suite d'essais précliniques positifs.
"Ce vaccin ne sera pas prêt cette année, mais il pourrait s'avérer utile plus tard, surtout si le combat contre les variants devait se poursuivre", a indiqué le directeur général de Sanofi Paul Hudson au JDD, sans donner aucun autre détail.
Sanofi a déjà annoncé en décembre dernier qu'un autre candidat vaccin qu'il développe avec le laboratoire britannique GlaxoSmithKline ne serait pas disponible avant le quatrième trimestre de 2021 alors que des données provisoires d'un essai clinique ont montré des résultats insatisfaisants pour les personnes les plus âgées.
Le mois dernier, Sanofi a accepté de participer au flaconnage de millions de doses du vaccin Pfizer-BioNTech à partir de juillet prochain.
www.france24.com %C3%AAt-en-2021
Bruno, Modérateur,58384 msg, 55 ans. Etampes (FR-91). [mon blog] Vtf 12km/j/IntercontinentalBBS/Sunn Revolt/XChox/Motive/Dogg |
Havoc
14-02-2021 à 12h48
 |
Une carte à conserver à l'esprit lorsqu'on parle pandémie de Covid, notamment sur les sujets suivants:
- moyens de lutter
- choix entre l'économique et le sanitaire
- âges des populations
- climat et météorologie..
Bruno, Modérateur,58384 msg, 55 ans. Etampes (FR-91). [mon blog] Vtf 12km/j/IntercontinentalBBS/Sunn Revolt/XChox/Motive/Dogg |
Jacques74
14-02-2021 à 13h31
 |
Au sujet de l'Inde :
Comment expliquer le spectaculaire recul du Covid-19 en Inde ?
www.sciencesetavenir.fr
Anonyme, 18554 msg, (FR). |
Havoc
14-02-2021 à 13h44
 |
Oui, j'avais lu cet article. Difficile à comprendre, surtout que l'Inde, ce n'est pas l'équivalent d'un pays d'Europe, c'est plutôt l'équivalent d'un continent.
Mais la relative cassure dans l'épidémie qui a lieu en France alors que tous ses voisins ont connu un moment de crise grave qui n'est pas terminé pour certains, n'est pas plus explicable, sinon par une hétérogénéité naturelle de la propagation des épidémies de Covid (certainement en raison du facteur k très faible).
Bruno, Modérateur,58384 msg, 55 ans. Etampes (FR-91). [mon blog] Vtf 12km/j/IntercontinentalBBS/Sunn Revolt/XChox/Motive/Dogg |
Havoc
14-02-2021 à 18h01
 |
Les enfants vont enfin pouvoir être testés sans heurts grâce aux tests salivaires.
Les ministère de l’Éducation Nationale, exemplaire, réagit:
Parents et enseignants dénoncent une "volte-face" du ministère, qui a allégé le protocole sanitaire dans les écoles alors que les variants du virus font craindre une résurgence de l'épidémie. "Le ministère [a publié] de nouvelles règles, plus souples, de fermeture de classes et d'isolement dans des situations de cas avérés et/ou cas contacts de variant", rapporte le syndicat national des enseignements de second degré Snes-Fsu.
En tout, 1 599 classes et 103 établissements scolaires sont fermés en raison de cas de Covid-19, a indiqué le ministère de l’Éducation nationale, vendredi 12 février. Des chiffres en nette hausse par rapport à la semaine précédente. Pourtant, le protocole renforcé le 1er février a bien été assoupli, vendredi. Le collectif École et familles oubliées dénonce une "publication en catimini" et des règles "en totale déconnexion de la réalité des conditions sanitaires des écoles", dans un communiqué (PDF). Voici les changements apportés au protocole sanitaire et publiés dans la "foire aux questions" du site du ministère.
"Toutes les modifications vont dans le sens du maintien des classes après la découverte de cas de Covid-19", analyse le site spécialisé Café pédagogique. Tandis qu'auparavant, le personnel des écoles était considéré comme contact à risque dès que trois élèves "de fratries différentes" étaient testés positifs, il est désormais écrit qu'"une étude approfondie des contacts déterminera si les personnels de la classe doivent être également considérés comme contacts à risque, conformément aux prescriptions des autorités sanitaires". Cette nouvelle règle est valable pour les classes de la maternelle au lycée.
"En cas d'identification d'un variant chez un personnel ou un élève, la classe concernée sera fermée", déclarait début février le ministère. Une mesure qui "est en partie responsable de l'augmentation des fermetures de classes", note Le Monde. La règle a changé, vendredi, concernant le variant détecté au Royaume-Uni. "La conduite à tenir autour d'un cas confirmé de la variante britannique est la même que pour le cas général", peut-on lire sur le site du ministère. La fermeture de la classe pourra "être envisagée" après "analyse locale concernant la circulation de cette variante sur le territoire", mais elle n'est plus systématique.
La modification a déclenché l'incompréhension de certains enseignants : "Le Snes-FSU exige que des règles plus protectrices soient appliquées en cas de variants. Il rappelle au ministère que la zone B n'est pas encore en vacances et que dès lundi, des élèves et des adultes seront dans leurs collèges, lycées et CIO avec ce nouveau protocole qui n'a rien de renforcé", écrit le syndicat.
www.francetvinfo.fr
Bruno, Modérateur,58384 msg, 55 ans. Etampes (FR-91). [mon blog] Vtf 12km/j/IntercontinentalBBS/Sunn Revolt/XChox/Motive/Dogg |
publicité 14-02-2021 à 18h01
| Creation du fichier https://cyclurba.fr/fichier/pub_log.txt
|
Peter
15-02-2021 à 08h07
 |
Le test grâce aux chiens avec 95% de réussite semble encore plus rapide et efficace pour tester les enfants en masse dans les écoles.
|
|